Le "way of life" (manera de vivir?) espagnol, ou plutôt, la sociabilité espagnole, a vraiment pour moi une familiarité réconfortante. Comme s'ils avaient réussi à garder intact une part de ce que nous avons perdu.
Sarkozy honorant de Gaulle, cela fait ricaner. Ecoutons plutôt un Compagnon de la Libération, même si le 18 juin 1940, il avait déjà décollé pour Londres. C'est meilleur pour le moral.
Je vous conseille aussi l'Appel du 1er mai sur Petite Anthologie pour les bons et mauvais jours.
Pendant des années, j'ai écouté intensément la bande originale de ce film -- en fait, jusqu'à ce que mon lecteur de cassettes rende l'âme. Et je n'ai jamais vérifié si la BO était sortie en CD. Il est grand temps que je m'y mette :) Quant au film, c'était pour moi, comme le dit un commentaire de YouTube, "un pelliculon" (désolée, pas de o accent sur mon clavier).
Et por siguiriyas, Diego Clavel me donne toujours le frisson... Je l'ai vu deux fois sur scène, dont une au foyer rural d'un bled andalou, les deux fois j'ai fini la bouche ouverte, tous les poils hérissés et les larmes aux yeux. En vidéo, c'est déjà pas mal.